WoW Addict

[sainthomme]

J'attend ca avec impatience
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La horde vaincra

Clavicules Guerrière conseil des ombres
Minage/forge

[romigor]

J'applaudis de mes deux sabots de tauren pour la qualité de ton histoire, le côté attachant de ton personnage principal et surtout pour l'imagination époustouflante dont tu fais preuve dans l'explication des techniques magiques.
Un grand bravo à toi!
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Quand une phrase alambiquée et ténébreuse vous donne le vertige, souvenez-vous que ce qui donne le vertige, c'est le vide.

[Psycho]

Heu ouais.. pareil que toi romigor :P
( sauf pour les sabots )
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Ze Wowaddict agneglishe ambassadeur

[twosides]

Mon cœur battait la chamade. Je ressentais une intense excitation. Un incroyable coup du destin me remettait sur la piste de Sayrek, au moment même où je commençais à ne plus y croire. Reprenant mon bâton, je quittai précipitamment la boutique du forgeron et partis à la poursuite de Garagbhône. Il avait dit rentrer auprès de son employeur : il allait donc me mener droit à Sayrek. Je ralentis mon allure dès que je réussis à le rattraper. Je ne voulais pas qu’il remarque ma présence et sente que quelqu’un le filait. Il était hors de question que je gâche bêtement la chance unique qui m’était offerte.

La tombée de la nuit aurait pu s’avérer être un obstacle à ma filature, mais, une fois de plus, la chance fût de mon côté. La hache géante de Garagbhône produisait une légère lueur blanche, qui se distinguait aisément dans l’obscurité qui commençait à s’installer. Ainsi, j’allais pouvoir le suivre sans problèmes et profiter des ombres nocturnes pour me dissimuler.

Garagbhône marcha sur la route menant à Stratholme pendant près d’une heure, puis il bifurqua vers la droite à une intersection et s’enfonça vers le Col du Nord. J’étais très anxieux à l’idée qu’il me repère, mais j’avais réussi jusqu’à présent à ne pas me faire remarquer. Je le suivais du plus loin que je le pouvais, le laissant parfois me distancer sur quelques mètres quand je supposais ma filature compromise.

La nuit était à présent bien installée. Les nuages sombres qui gorgeaient le ciel, laissaient passer, de temps à autre, la lumière faiblarde d’une demi-lune éteinte. J’ignorais totalement où je pouvais me trouver. Obnubilé par la poursuite de l’éclat blanchâtre de l’arme du guerrier nain, j’avançais sans savoir où j’allais.

J’aperçus soudain au loin la lumière familière d’un feu de camp. J’arrêtais de marcher : Garagbhône se dirigeait droit sur elle. J’en déduis qu’il était finalement arrivé à son campement.

Je ressentais une grande excitation. J’avais attendu ce moment. Je m’y étais préparé. Je ne voulais pas me donner de faux espoirs, mais j’étais certain de trouver Sayrek au bivouac de Garagbhône. Tout ce chemin parcouru…Et pourquoi ? Qu’allais-je faire quand je me retrouverais face à face avec mon ennemi ? L’affronter ? Je n’y avais jamais réellement pensé. J’avais simplement suivi mon instinct, qui me disait que c’était la bonne chose à faire.

Je chassais ces questions insidieuses de mon esprit. Je verrais bien le moment venu. Pour l’instant, je devais être sûr que je n’étais pas venu jusqu’ici pour rien. Je m’approchais prudemment pour observer le bivouac. Etabli au milieu dans une petite clairière, il était constitué par deux tentes, réparties autour d’un feu chatoyant. Les arbres environnants faisaient de bonne cachette et me permirent d’approcher assez près.
Garagbhône, assis, réchauffait une sorte de brochette au-dessus des flammes ardentes. Il était seul. Aucune trace de ses compagnons.
« Les tentes » pensais-je « ils doivent dormir à l’intérieur…»

Mais alors que je réfléchissais à la suite des actions, je sentis soudain l’acier froid d’une lame s’appuyer sur mon coup. Une voix, dans mon dos, me murmura :
« Un mot, un seul et je t’égorge ! Viens par ici, l’ami ! »
La voix me sembla familière, mais je n’eus pas le temps de réagir.
Appuyant légèrement sa lame contre ma glotte, il m’obligea à me lever et à le suivre. Il m’attira loin du campement, dans une forêt lugubre. Nous marchâmes pendant de longues minutes et il me conduisit jusqu’à une grotte éclairée faiblement par les restes d’un feu de camp, située à environ à 1 km du campement de Garagbhône.

J’avais fait tout le trajet sans voir le visage de mon kidnappeur, sentant juste son souffle frais et sa lame sur mon cou. J’imaginais tous les moyens possibles pour m’échapper, mais il tenait ma vie entre ses mains : je savais qu’au moindre mouvement, il me trancherait la gorge.
Une fois entré dans la grotte, je sentis la pression de la lame se relâcher et mon ravisseur me demanda de me retourner. J’obéissais et ce que je vis me fit pousser un immense soupir de soulagement.

« Elüam ! » m’écriais-je, surpris mais rassuré. C’était bien sa voix que j’avais cru reconnaître et j’étais heureux de m’apercevoir que je ne m’étais pas trompé.
« Vous m’avez fait une de ses peurs ! Je peux savoir à quoi vous jouer ?» demandais-je.
« Je joue à vous sauver la vie, espèce de crétin ! » dit-il énervé « Vous tenez vraiment à vous faire égorger ? »
Il ne me laissa pas répondre à sa question et continua.
« Si vous vous croyez discret quand vous filez quelqu’un, vous vous trompez, mon ami. Garagbhône a dû vous repérer dès que vous l’avez pris en chasse. Dès qu’il est arrivé au campement, il a informé son compagnon Vive-Lame de votre présence. Et pendant que vous vous approchiez doucement, à pas feutrés, le voleur faisait sa ronde autour du campement, dissimulé dans l’ombre et prêt à vous sauter dessus dès qu’il vous trouverait ! Vous avez de la chance que je vous ai trouvé avant lui ! »

J’avalais ma salive et déglutit, pendant que l’elfe continuait son explication :
« Vous ne devez votre salut qu’au fait que je les espionne tous les soirs depuis une semaine : quand j’ai entendu Garagbhône parler d’un humain qui l’avait suivi, et demander à son collègue de l’en débarrasser, j’ai décidé d’intervenir. Aucun autre meurtre inutile ne serait plus commis par Vive-Lame, si je pouvais l’en empêcher ! Mais j’ignorais alors que c’est votre vie que je sauverais…»
Des frissons glacials me parcoururent l’échine. J’avais échappé à la mort de peu.
« Merci, merci beaucoup…» dis-je confusément.
« Hum, du moment que ça ne devient pas une habitude… » me répondit-il en souriant.
Puis après avoir raviver le feu, en y ajoutant du bois et en soufflant sur les chardons ardents, il me dit :
« Votre présence ici me surprend, Keryas ! Et je suppose que la mienne vous surprend tout autant… Je pense que nous avons beaucoup de choses à nous dire. »
Il me regarda et j’acquiesçai d’un signe de la tête.
« Je vous laisse commencer ! » reprit-il alors « Expliquez-moi donc ce que vous faites ici…»

Je lui racontais rapidement mon parcours depuis que nous nous étions quittés : mon apprentissage, mes aventures à Ironforge (qui l’amusèrent beaucoup), mon voyage jusqu’aux Maletterres, sur les traces de Teltalah, et la chance incroyable qui m’avait fait croisé la route de Garagbhône…

« Vous ne suivez toujours pas les conseils de vos aînés, à ce que je vois ! » finit par me dire Elüam.
« Je vous avais dit de renoncer à Sayrek ! Mais vous êtes plus entêté qu’un nain, j’aurais dû me douter que je vous croiserai de nouveau…
En tout cas, je dois reconnaître que vous avez un bon instinct : se concentrer sur Teltalah était effectivement la meilleure piste à suivre… »
« C’est aussi comme cela que vous avez raisonné ? » demandais-je, curieux.
« Tout à fait. Sauf que moi, j’ai eu plus de chance : j’ai pu obtenir beaucoup plus d’informations que vous au sujet du haut-elfe. Laissez-moi donc vous raconter, ça devrait vous intéresser… »

Il prit une profonde inspiration et commença son histoire :
« Après avoir quitté Stormwind, je me suis rendu à Darnassus, ma ville natale. C’est là-bas que se trouve la majorité du savoir elfique. Même si nous autres, Elfes de la nuit, avons pratiquement rompu tout contact avec les Hauts Elfes qui se sont exilés en Loarderon, nous n’avons jamais cessé d’observer nos frères de sang. C’est grâce à cela que j’ai découvert l’histoire de Teltalah. Et laissez-moi vous dire une chose, Keryas :
Si le « trésor » du Haut-elfe existe bel et bien et que Sayrek arrive à s’en emparer, Azeroth connaîtra alors une menace bien plus terrible que celle du Fléau… »
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Rien ne sert de prendre la vie au sérieux, de toute façon, on en sortira pas vivant..

[sainthomme]

C'est exelent! mais au fait un nain est entété? tout ceux que je poursuivais puis tué ne revenait jamais...
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La horde vaincra

Clavicules Guerrière conseil des ombres
Minage/forge

[Psycho]

Salaud^^
La, tu nous laisses vraiment sur notre faim, Twosides :'(
Mais bah, comme d'habitude,
Ton récit fait chanter mon coeur, comme à chaque fin celui-ci sifflote tristement une mélodie mélancolique la preuve
=
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Ze Wowaddict agneglishe ambassadeur

[Anaxagor]

Rhaaaaaa, encore la même réaction: Un "chouette" la suite lorsque je vois que la derniere personne à avoir répondu à ce thread est Twoside. La lecture se fait sans trop d'encombre (juste dérangé plusieurs fois par le téléphone). Et encore une fois, c'est trop vite fini...

Ceci dit, l'histoire a avancé d'un grand bond, on reste sur notre faim mais bien content de voir cette avancée

Merci encore à toi Twoside pour cette merveilleuse histoire
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Anaxagor prêtre UD (Elune)
Karup voleur Troll (Elune)

[Hadrien]

A bonne nouvelle vous voyez que les Nain peuvent repéré si on les files ou pas ^^ Très bonne histoire comme d'hab on attends la suite et les Nain sont entèter oui !!!^^
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Hadrien Paladin et Empereur de la Guilde Impériale

[korridwen]

la suite!!!! la suite!!!! la suite !!!!!
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[Psycho]

[orée]

Mais quelle brillante aventure!!!!!
C'est une magnifique histoire pleine de rebondissements et de suspense. Twosides, tu es un véritable auteur, plein de talent...
Je viens de découvrir ton récit et je n'ai pas pu m'arrêter. Je suivrai désormais ce post avec une attention toute particulière.
La pétillante alyvna aura-t-elle un rôle et une interaction dans la suite des aventures?
Eluam serait-il un compagnon de Keryas jusqu'à la fin?

J'avoue avoir envie de découvrir la suite

Merci Twosides
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Oréedesbois, gnomette démoniste / Elune
Endorphine, humaine prêtresse / Elune
Kÿah paladine draeneï / Elune

[Psycho]

Un jour, tu devrais faire une rencontre entre Keryas et un hordeux... ( un druide tauren plus précisement (psychopathe et scalpeur, le tauren ))
allez, la suite la suite pour la forme
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Ze Wowaddict agneglishe ambassadeur

[twosides]

[HRP]
"Vendredi c'est ravioli !" comme dit un de mes collègues de bureau...
Mais aussi le moment de mettre la suite des aventures de notre ami Keryas !
Bonne lecture et bonne journée !
[/HRP]

J’étais littéralement suspendu aux lèvres de l’elfe de la nuit. D’une voix calme, il me raconta son histoire :
« Teltalah était un habitant de l’autrefois splendide cité de Quel’Thalas. Mage très puissant, il était réputé comme l’elfe le plus savant à propos de tout ce qui concernait le Puits Solaire et ses énergies. Cependant, bien qu’il ait pût prétendre aux plus hautes fonctions parmi les siens, il choisit d’emprunter une voie beaucoup moins glorieuse.
De nature très inquiète, il était obsédé par les souvenirs de la destruction du Puits d’Eternité, destruction qu’il avait vécu dans sa jeunesse. Il n’avait peur que d’une chose : que le Puits Solaire, crée par les siens, subisse un jour le même sort et que tous subissent à nouveau un sevrage magique et ses conséquences désastreuses. Malgré ses compétences et son savoir, sa paranoïa grandissante finit par le rendre asocial et par l’isoler du reste de la société. Pour la plupart de ses concitoyens, il n’était qu’un fou apeuré, qui craignait l’impossible et qui, du haut de leur arrogance, n’envisageaient même pas l’hypothèse de la destruction du Puits comme plausible. L’histoire montre qu’ils se sont trompés…

Toujours est-il que Teltalah finit par s’enfermer dans son laboratoire, pour procéder à une série de recherches et d’expériences, portant sur une sorte d’énergie « parallèle » à celle du Puits Solaire. Le but qu’il poursuivait était la réalisation d’un artefact magique qui agirait sur une personne comme le Puits Solaire agissait sur tous : pour faciliter votre compréhension, il voulait créer une sorte de « Puits Solaire portatif ».
Bien que tous ses confrères jugèrent ses travaux comme une pure folie, ils ne parvinrent jamais à faire renoncer Teltalah. Ils finirent par le laisser tranquille et Teltalah se consacra entièrement à ses recherches, confiné chez lui ou à son laboratoire…

A partir de ce moment, les informations retrouvées à son sujet deviennent beaucoup plus rares et moins précises. Teltalah travaillait apparemment directement sur l’eau tirée du Puits et essayait d’en insuffler l’essence à différents objets, tels que des anneaux, des colliers, des bracelets, etc…Il ne communiquait que rarement l’avancée de ses études et, à chaque fois qu’il le faisait, il disait qu’il était « près du but », causant l’hilarité générale parmi ses collègues, qui finirent par ne plus du tout le prendre au sérieux…

Toutefois, le jour même où Quel’Thalas devait être attaquée et détruite par Arthas, Teltalah quitta la cité elfique précipitamment, dans un état de confusion intense. Hurlant comme un dément, totalement déchaîné, il prétendait avoir réussi et devait pour le vérifier s’éloigner le plus possible du Puits Solaire et de ses énergies. Personne ne le crût et il quitta la ville. Trois heures après son départ, Quel’Thalas était rasée et tous ses habitants étaient exterminés…

Teltalah était retrouvé dans Stratholme quinze jours plus tard, errant comme un damné, rendu fou par la destruction du Puits Solaire et la perte de son énergie magique. La suite, vous la connaissez. A ce jour, personne, à part lui, ne sait ce qu’il a réellement réussi à créer, quel est le pouvoir réel de sa création et ce qu’il est advenu d’elle…»

Elüam avait fini. Son récit était incroyable. Il recoupait à la fois les dires du gardien Thelwater et m’aidait à y voir plus clair. Je profitais de la pause de l’elfe pour lui poser quelques questions.
« Vous pensez que c’est pour cette raison que Sayrek a organisé l’évasion de Teltalah ? Parce qu’il aurait réussi à créer une « mini-réplique » du Puits Solaire ? » demandais-je.

« Je ne sais pas quoi vous dire, Keryas…Seul le haut-elfe pourrait répondre. Ce que je sais, par contre, c’est que tous les jours, nos amis se rendent dans Stratholme. Ils passent leurs journées là-bas et rentrent le soir à leur campement… »

« Mais je ne comprends pas…» l’interrompis-je « Si Teltalah n’est pas fou, que son « trésor » existe vraiment, comment se fait-il qu’ils ne l’aient pas encore trouvé ? »
« Le choc qu’a subi Teltalah lors de la destruction du Puits Solaire a été très violent. Il est fort possible que la souffrance et le manque ressentis lui aient « mélangé » la mémoire, de sorte qu’il ait oublié ce qu’il avait fait de son « trésor ». Il est possible qu’il sache qu’il existe, mais qu’il soit incapable de se souvenir de l’endroit où il est…
Quand le mage elfe a été retrouvé dans Stratholme, il n’avait rien sur lui. Mais il affirmait être en train de chercher son « trésor ». C’est assez ironique, non ? Teltalah passe sa vie à chercher un moyen de remplacer l’énergie du Puits Solaire, au cas où il serait détruit. Et quand il y parvient enfin, le choc qu’il subit, lors de la destruction qu’il a tant redouté, lui fait oublier où se trouve le remède à son mal… » m’expliqua Elüam.
« Mais alors, ils risquent de chercher pendant une éternité ! » dis-je.
« Et c’est tant mieux pour nous ! Parce que si jamais ils le trouvent, nous serons désormais là pour le leur prendre. Vous imaginez ce que pourrait faire Sayrek avec une source d’énergie équivalente à celle du Puits Solaire ?» répliqua l’elfe de la nuit.
« Nous ne sommes même pas sûrs que ce soit ça ! » répondis-je. « Teltalah était peut-être fou avant la destruction de Quel’Thalas ! Et peut-être qu’il n’a rien inventé du tout ! »
« Dans le doute, il vaut mieux envisager le pire, non ? » rétorqua Elüam.
J’acquiesçais d’un signe de la tête.

Je savais qu’il avait raison. Si jamais Teltalah avait réussi à créer une source d’alimentation magique aussi puissante que le Puits Solaire et que Sayrek s’en emparait, il deviendrait un des mages les plus dangereux de notre monde. Et comme nous ignorions toujours ce que Sayrek comptait faire réellement de cette force, il valait mieux l’empêcher de se l’approprier…

« Que faisons-nous maintenant ? » demandais-je à l’elfe de la nuit.
« Nous attendons que le jour se lève…Et demain, nous ferons la même chose que je fais chaque jour depuis une semaine : espionner Sayrek et sa bande quand ils se rendent dans les ruines de Stratholme. Si jamais ils trouvent quelque chose, nous aviserons à ce moment-là…Je devrais aussi vous donner quelques cours de camouflage si nous ne voulons pas nous faire repérer trop vite, parce que… » me répondit-il.
Mais je ne le laissais pas finir. J’avais cru voir une ombre passer dans le dos de l’elfe.
« Elüam, attention ! Derrière vous ! » l’interrompis-je brusquement.

Au moment où je prononçais ces mots, je vis s’écrouler mon ami sous mes yeux, assommé. Avant même que je ne puisse réagir, je ressentis un choc violent à l’arrière de la nuque et tombais à genoux. Juste avant de m’évanouir, j’entendis l’ombre qui disait :
« Tiens donc, Elüam ! Le stupide elfe qui se prend pour un voleur ! Accompagné d’un adolescent, en plus ! C’est Sayrek qui va être content ! C’est la journée des surprises aujourd’hui… »

Puis les ténèbres m’envahirent et je sombrais dans un sommeil sans rêve, noir comme la nuit.
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Rien ne sert de prendre la vie au sérieux, de toute façon, on en sortira pas vivant..

[korridwen]

rraahhh trop de supens pour mon pauvre coeur

bon vu que je bosse à boulogne et que je passe par ta ville pour aller bosser je vais m'arrter chez toi pour te faire un gros bisous et te dire MERCI pour cette histoire
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[Maïane]

Waouah maintenant j'ai encore plus peur de Sayrek...
Ca tombe bien j'ai prevu une sortie à Stratholme cet aprem...
Je vais aller sauver Elüam et Keryas des mechants pas gentils...comme ca on aura la suite plus vite
Bravo comme toujours...
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