WoW Addict

[Yuana]

Bonjour tout le monde. Bon voila j'ai voulut ecrire une petite nouvelle pour passer le temps (je fait un stage, j'ai un pc mais pas wow ici...:'()
Voici un début de nouvelle. J'aimerai avoir votre avis.C'est la première fois que j'ecris d'où les maladresses.

Ps: félicitation à Galadriel pour Coraline...j'adore




De la poussière lui fit cligner les yeux. Il eut un geste de recul, se frotta les paupières,toussa et se remit au travail.
"Saleté de boulot!"
Avec l'aide de sa petite pelle et sa balayette en crin de cheval, Darian nettoyait le sol du chateau. Il se trouvait actuellement à l'étage royal où résidait le Roi Hathor de Baker, roi de la puissante Cité de Fetjine. Il y effectuait ses taches ménagères tous les lundis. Il n'aimait pas les lundis. Il risquait de croiser le Roi, et celui ci, il ne l'avait jamais compris, n'avait jamais pu le supporter: il le poussait, l'insultait quand il le croisait, le frappait même quelques fois. Et la peau blanche presque translucide de Darian en portait les traces. Il posa ses yeux d'un vert très perçant sur la porte de la chambre du Roi: il n'était pas là. Le Roi Hathor était en déplacement dans la ville du Commerce, Impega, où vivaient et commerçaient toutes éspèces confondues, hormis les Gloumis bien sur.


Les Gloomis regroupaient toutes les races de créatures malfaisantes, que crea Azurthon, en même temps que Fantasya. Fantasya était le monde où tout était possible, un monde imaginaire selon les humains de nos jours, mais qui pourtant à bien exsister. Deux Dieux, Fils de la Planète Nienna, décidèrent de créer leur propre monde. Mais les deux frères n'avait pas du tout le même caractère ni les mêmes ambitions.Azurthon ne pensait qu'au pouvoir et à la soumission des futurs êtres vivants. Il voulait être le Dieu, le seul, et chaque être devrait le respecter et se plier à ses ordres. Ce monde serait le sien, et il ne le partagerait pas avec son Calpypso, son jumeau. Il crea donc de son côté les Gloomis. Mais Calypso devina les pensées de son frêre et créa de son côté les Peuples Libres. Mais pour lui, les Gloomis et les Peuples libres ne pouvaient pas habiter sur la même planète: se serait le chaos. Alors Calypso décida de tuer son frêre, pour que lui et les Gloomis disparaissent à jamais. Seulement, Azethon s'était tellement acharné à sa tache que les Gloomis étaient deja très forts, et tous ensembles tuèrent Calypso. Une fois les deux dieux morts, Les Peuples libres et le Gloomis habitèrent sur Fantasya.


Darian jeta un regard sur la porte du Roi. Elle n'était même pas gardée.Sans doute les guardes royaux accompagnaient-ils le Roi. Il voulut y entrer. Il posa sa main sur la poignée glacée et dorée. Il tourna la tourna lentement, prenant garde à ne pas faire de bruit.Il poussa la porte. Mais avant même qu'il put rentrer dans la pièce, le visage bleuté d'une femme, tel une apparition, se glissa devant lui, et poussa un cris sur-aigû. Darian sentit son coeur se sérré, une impression de mal être sempara soudainement de lui, puis il eut la sensation que ses vicères se tordirent. Ne pouvant s'en empecher, lui aussi cria, d'un cri aussi aigû que l'apparition. Pendant quelques secondes, tandis que les deux cris s'entremêlaient, les murs tremblèrent. Puis tout s'arreta.L'aura bleu qui émmanait tantôt la pièce avait disparu. Un main squelletique se posa sur l'épaule de Darian, et le fit sursauter. Il se retourna: c'était Drelara, une très vielle femme qui s'occupait de lui avec son époux, Mandred. Mandred était depuis quelques temps très souffrant.
"Darian, decend s'il te plaît. Mandred désire te parler".


Darian, à peine remit de ses émotions obétit. Il devala les escalier, n'attendant pas la vielle dame. De toute manière, elle n'irait jamais à sa vitesse. Il se demanda d'ailleurs comment elle avait pu monter sans aide jusqu'à l'étage royal.Il arriva au couloir menant à l'aile réservée aux serviteurs. Au bout du couloir se trouvait une vielle porte, toute petite. Darian y entra. Il plissa les yeux pour voir dans l'obscurité et apperçu avec diffciculté une chandelle au fond de la pièce , qui éclairait sensiblement le corps du viel Mandred, allongé sur un lit de paille. Il avait recouvert sa tête de la capuche de sa cape noire, troué par les mites. Darian d'avança vers lui. Puis Mandred eut un mouvement: il tourna la tête vers lui. Leurs regards se fixèrent pendant quelques secondes, puis Mandred pris la parole.
"Darian, Darian...mon petit. Il est temps que nous parlions tout les deux."
Darian ne disait mot. Le viel homme continua.
"Je me meurt mon enfant, je me meurt. Je me suis occupé de toi tu sais. Mais je ne veux pas mourir en te laissant ignorant...."Il marqua une pause scruta dans l'obscurité le visage de Darian, impassible, repris sa respiration et continua.
"Il se peut que ce soit dur, il se peut que ce soit éprouvant, mais cela est nécessaire...Tu n'es pas la fils de paysans morts que nous avons trouvé...Oh non, Foudre Lunaire...non!"
Sa voix devenait de plus en plus étrange, mélant la gravité à la moquerie.
"Tu dois découvrir qui tu es, mon enfant, et empecher....et empecher....la fin de Fantasya."
Cette fois ci Darian réagit:" Moi...moi qui n'est qu'un pauvre serviteur de 18 ans de vie ?!...Vieil homme, malgrès le respèct que je te dois, ta maladie te rend fou!Comment voudrai-tu que je sauve Fantasya? Et de quoi? Mandred répond moi...Mandred.!!"
Mais le vieil homme tourna la tête vers le plafond et murmura:"Tu n'es pas ce que tu penses être". Il ferma les yeux et partit pour un voyage sans retour.


Interloqué, Darian sentit un sentiment très étrange: ce n'était pas de la tristesse, mais plutôt de la colère. Comment pouvait-on lui annoncer qu'il n'était pas ce qu'il pensait, qu'il devait sauver le monde et mourir?
Cela n'avait aucun sens.Il contempla le corps, des pieds à la tête. Puis, il regarda sa main. Un lacet noir était entouré autour du doigt de Mandrer, et au bout de ce lacet pendait une amulette représentant deux serpents, un d'or et l'autre d'argent, qui se mordaient la mutuellement la queue. Il avait deja vu ce symbole quelque part, sans vraiment savoir où. Il s'empara de l'amulette, et se retourna pour se trouver nez à nez avec Drelara la vielle, dont le sourir le fit frémir. "Garde cette amulette près de toi. Garde la! Elle te sera d'un grand secours et de guidera! Les Elfes sont avec toi! Pars, pars!". Mais Dorian de bougea pas. Alors une immense fumée rouge se répendit autour de lui. Il ferma mes yeux, et toussa.

Quand il les rouvrit, il était dans une forêt. C'est alors qu'il se souvint des dernières paroles de Drelara: "Les elfes sont avec toi!". Il regarda sa main: Il y tenait encore l'amulette. Il fit le raprochement: il avait vu l'amulette sur un livre qui parlaient des peuples libres: c'était le symboles des Hauts-elfes.

[Maïane]

J'aime beaucoup et j'attend la suite avec impatience...
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[babulior]

Pour une première nouvellec'est très bon! Continue comme ca ca va etre terrible le sens.
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Y a pas quelqu'un qu'aurait des chocaswings !!

[Goudo]

j'aime bien, ce fut un bon moment de lecture

tres jolie
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La loi, c'est lui
Ou que tu sois, Goudo est là ! ou là et regarde la bas !