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Tolwyn

 
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Bruno



Inscrit le: 04 Mai 2005
Messages: 43
Localisation: Toujours la tete :)

MessagePosté le: 27 Juil 2005, 14:28    Sujet du message: Tolwyn Répondre en citant

Salut tout le monde,

Bon apres des journées de taf' atroces ces derniers jours, j'ai decide de prendre ma matinée (enfin, je suis venu au boulot hein, j'ai juste rien fait) pour taper un 'tit texte RP qui me trainait depuis quelques temps dans la tete, histoire de vous l'infliger... comme ca sans raison, par pure cruauté en fait. Baveur

Inspiration principale : ma reroll guerriere sur Elune. excellent Très content
Inspiration secondaire (pour le nom) : Les bouquins de Torg pour les rares qui connaitraient... toujours rendre à Cesar bla bla bla...

Aller, bonne lecture... toute ma considération a ceux qui vont au bout Choqué et n'hésitez pas a poster vos avis, critiques, lettres de haine... je prends tout Sourire

Bruno

-------------------------------

« Mon nom est Tolwyn de Tancrede »

Une lueur fugitive passa dans les yeux fatigués du vieux maréchal, puis s’éteignit… Sa curiosité un instant titillée avait rapidement laissé place à la résignation que l’homme semblait incarner. Le nom de la famille Tancrede, autrefois connu comme l’un des plus fidèles et de plus vaillants boucliers de l’empereur et des royaumes humains n’évoquait plus aujourd’hui que de lointaines réminiscences chez certains. J’en avais une fois de plus la preuve.

Retiré dans ce petit village de bûcherons de la forêt d’Elwyn, le maréchal Hagard semblait attendre sans espoir la fin de son dernier combat… Un homme qui avait vécu l’arme à la main, sans penser un instant qu’un jour viendrait où il ne pourrait plus la porter. Pour un guerrier, l’âge est le plus sournois des ennemis… J’éprouvais une sincère compassion pour le vieil homme, tout en pensant que j’aurais sans doute aimé que mon père vive aussi vieux que lui. J’aurais ainsi pu mieux le connaître. Mais aucun Tancrede n’avait a ma connaissance atteint la quarantaine…

Le vieil homme sourit tristement, percevant sans doute un instant mes pensées. Il me fit entrer dans sa petite maison et d’un air las se laissa aller à me conter ses soucis. Les défias s’étaient installés non loin d’ici. Profitant de l’absence d’une grande partie de l’armée, les chiens et la vermine proliféraient comme la peste. Et voici que même les routes de la forêt d’Elwyn, où autrefois une vierge eut pu se promener l’esprit tranquille de nuit dans le plus simple appareil, n’avaient plus rien de sûres. Et non contents de voir le vieil homme se maudire de ne pouvoir se lever contre eux, ils l’avaient trompé en se faisant passer pour des soldats et lui avaient volé sa plaque de maréchal afin de le ridiculiser. En me confiant cela, le vieil homme contenait difficilement ses larmes. Devant ce triste spectacle, je sentais mon sang bouillir dans mes veines. Entre mes dents, je lui fis la rapide promesse de lui ramener sa plaque et partis la rage au ventre dans la direction indiquée.

La route ne fût guère longue. Dieu qu’ils étaient proches du village, installés en pleine clairière comme si rien ne pouvaient les inquiéter, riants autour de leur tente. Mais j’allais leur montrer que le royaume avait encore quelques défenseurs ! Huits, hommes et femmes, et bien armés. Beaucoup. Trop peut-être…Mais j’étais moi même plutôt bien équipée. La richesse de ma famille n’était pourtant plus qu’un souvenir depuis longtemps. Je me rappelais encore du petit manoir et du jardin où se promenait souvent dans le couchant l’imposante silhouette de mon père. Ce lieu où j’avais passé mes premières années, pauvre reflet de notre château perdu dans les hautes terres de Lordaeron, même ce pauvre vestige, avait du être cédé à sa mort. J’étais encore jeune alors, lorsqu’il périt avec tant d’autres dans les plaguelands, enfin c’étaient leur nom alors. Les maleterres aujourd’hui…

Affligeant… Alors que les épées résonnaient partout à la surface d’Azeroth, et que nous combattions des ennemis sans cesse plus proches de nos demeures, les scribes officiels n’avaient rien trouvé de plus important que de se réunir pour changer les noms de nos contrées. Quelle dérision… Enfin, au moins n’avions nous pas eu la surprise de nous retrouver à parcourir du jour au lendemain les grandes contrées désertiques des tarides !!! Ah ah ah, j’aurai aimé voir la tête des orcs lorsqu’on leur annonça le nouveau nom que porteraient désormais leurs chers barrens. Oui, nous avions échappé au pire, mais il devenait urgent que la guerre se termine avant qu’ils se réunissent de nouveau. Nous aurions ainsi le loisir de les juger et de les pendre comme il convient…

A défaut de richesses, mon père avaient beaucoup d’amis, et certains restèrent fidèles à son souvenir. L’aide la plus importante et la plus sympathique me vint du plus singulier des personnages. L’encre commençait à peine à sécher sur les registres d’engagement que je venais de signer à l’abbaye du Northshire qu’une armure de mailles neuve et une bonne épée me parvinrent, envoyées d’Ironforge par un certain Delinar. Et les semaines suivantes, armes, pièces d’équipement, potions, et même argent continuèrent à me parvenir avec une impressionnante régularité, et avec un tel à propos que je ne pouvais douter du fait que l’homme suivait avec attention mes progrès et besoins. Je pris donc la résolution de faire le voyage jusqu'à la capitale naine pour rencontrer mon généreux bienfaiteur. J’en eus pour mon argent si je puis dire.

L’homme n’en était pas un, c’était un de ces petits être empressés, les gnomes, et celui-ci semblait être le plus empressé de tous ! Accompagnant de grands gestes dramatiques le flot incroyable de ses paroles, il s’exprimait d’une voix surexcitée et avait les cheveux en bataille. Mais, à côté de cela, il était vêtu d’étoffes rouges, noires et or incroyablement belles et riches, avait plusieurs bijoux de valeur et porter une épée magnifique qui brillait d’une lueur rouge inquiétante. Il était aussi paré d’incroyables inventions gnomes : une cape parachute, des chaussures métalliques dotées de fusées et des lunettes qui projetaient une lumière qui cependant ne parvenait pas à masquer la lueur frénétique de son regard. Et si le personnage n’avait pas été assez extravagant, voilà que partout le suivait sa fidèle succube, vêtue –ou dévêtue – de la plus osée des manières. J’avais devant moi un de ces gnomes démonistes ingénieurs, ce que la plupart des gens censés considèrent comme des fous dangereux. Mais je devais reconnaître qu’il semblait aussi sympathique que généreux et je ne parvins pas à me départir d’un sourire tout le temps que nous passâmes ensemble.

Ma famille était autrefois venue au secours de celle de Delinar, et celui-ci s’acquittait aujourd’hui joyeusement et de la façon qui lui semblait la plus adaptée de cette vieille dette. J’avais donc pour moi ce solide avantage. Une excellente armure, un solide bouclier et une épée effilée, même si elle ne pouvait en rien se comparer à Etoile du matin, l’épée de ma famille que j’observais petite fille avec émerveillement et qui avait disparu avec mon père.

Un sourire aux lèvres, je reportais mon attention sur mes huits adversaires. Certains patrouillaient tranquillement autour du camp. Avec un peu de chance, je pourrais m’en débarrasser sans trop attirer l’attention. Resteraient les trois qui se tenaient près de la tente, et parmi eux leur chef qui semblait à la fois fort et vif. Ca n’allait pas être une partie de plaisir…

Jaillissant de derrière un arbre, je me jetais brutalement sur le premier et frappais par trois fois avant qu’il ne puisse réagir. Il le fit avec force mais mon bouclier fit obstacle à ses tentatives de retourner la situation. S’en fut rapidement fini pour lui ainsi que pour les deux suivants. Mais la discrétion n’étant pas mon fort, mon approche avertit deux de mes adversaires qui se jetèrent sur moi. J’accueillis le challenge avec joie. Ils allèrent pour se placer stratégiquement, l’un me contournant pour venir dans mon dos mais en furent pour leurs frais. Le temps qu’il y parviennent, j’étais presque venu à bout du premier d’entre eux. Le ample mouvement tournant de ma lame avait failli emporter sa tête. La peur au ventre, il tentât de s’enfuir, mais je lui brisai le genou d’un méchant coup d’estoc et l’achevai la seconde d’après en le transperçant de part en part. Mon dos me brûla soudain. Mon second adversaire avait profité de l’aubaine pour me porter un méchant coup, mais mes forces étaient intactes et je lui fis violemment payer.

Cinq à terre… Je pris dans mon sac de quoi reprendre quelques forces et bander mes plaies. J’observais les trois derniers avec une certaine inquiétude. En calcul pur, je partais perdante. Mais je le chassais rapidement ces doutes. Un guerrier n’écoute que son cœur, pas sa tête. Je me rappelai l’une des premières leçons d’un maître d’armes. S’ils sont plus nombreux et que tu ne peux éviter le combat, attaque ! Je chargeai donc et hurlai le nom des Tancrede alors que mon épée s’abattait violemment en déboîtant l’épaule de mon premier adversaire, puis je me fendis et frappai à la cuisse. Le sang se mit à jaillir à gros bouillons. Celui-ci partirait avec un sérieux désavantage.

La surprise n’eut hélas qu’un temps. Mes adversaires réagirent promptement, et les coups se mirent à pleuvoir. J’en bloquais tant que possible de ma lame et de mon bouclier mais beaucoup touchèrent l’armure et certains la passèrent. Les premières punitions marquaient mes chairs, mais ce n’était guère le moment de s’en inquiéter. Je rendis coup pour coup ! Mon premier adversaire était à bout et tenta une retraite. Je choisis de ne pas le laisser faire, quitte à m’exposer davantage et frappait au cou. Il recula, saignant comme un porc, et ne fit que quelques pas avant de s’effondrer dans l’herbe qui se teint rapidement de pourpre.

Je reportai ma rage sur le second sous-fifre et enchaînai bottes sur bottes. Il ne comprit sans doute jamais comment il avait pu mourir aussi vite. Il ne restait plus face à moi que le chef de ces voleurs mais dieu qu’il était fort. Ces coups s’abattaient avec une telle violence que je craignais qu’il m’arrache mon bouclier, mon arme, si ce n’est mon bras. Et je sentais que mes blessures m’affaiblissaient considérablement. Je plaçais bien quelques coups mais il semblait les ignorer et sa lame traça soudain un profond sillon sanglant dans mes chairs juste au dessus de ma ceinture. Je lançais mille malédictions sur l’abruti de forgeron qui avait imposé la mode des cottes de mailles pour femmes s’arrêtant au dessus du nombril. Qui pouvait être assez stupide pour penser qu’on se souciaient d’être sexy en revêtant de la maille.

Je ripostais et trouvais par deux fois les failles de sa défense, mais manque de conviction dans mes coups, ou incroyable endurance de sa part, cela ne sembla en rien entamer ses forces, et les coups plurent de nouveau avec la même violence. Je voyais la fin approcher et l’espace d’un instant la peur envahit mon esprit, me laissant désemparée. Il le vit et je lus dans ses yeux la victoire. Pendant ce qui sembla durer une éternité, je regardai sa lame se lever comme celle d’un bourreau, avec les yeux d’une petite fille incapable de se défendre. Puis résonna avec puissance dans mon esprit l’ancestrale devise de ma famille : « point ne faiblit ». La rage m’envahit, et un voile rouge recouvrit mes yeux. Non, nous n’avions que trop reculé ! Quitte à périr, ce ne serait pas en victime. Ma lame se leva, bloquant la sienne dans un choc d’une telle violence qu’il se répercuta dans chacun de mes os, mais je trouvais la force de l’écarter et me déportai pour frapper d’un large mouvement qui lui emporta définitivement une oreille et son sourire supérieur.

Ses yeux le trahissaient. La peur venait de changer de camp, mais je n’étais guère tirée d’affaire. Je sentais mes dernières forces prêtes à me quitter. Qu’il me touche une fois encore et s’en était fini. Mais je m’accrochais à ma rage comme si c’était la seule chose qui me reste en ce monde et lançai assaut sur assaut après assaut. L’homme semblait ne jamais devoir tomber, et j’aurai été bien incapable d’expliquer comment je trouvais chaque fois l’énergie de relever ma lame, mais par miracle, aucun de ses coups ne passa mon bouclier ou mon armure. Et soudain, il finit par s’effondrer. Je regardai son cadavre tenant de reprendre mon souffle, mais mes jambes refusèrent de me porter un instant de plus et je l’imitais la seconde d’après.

La rage m’ayant quittée, je pris alors conscience de la douleur, omniprésente, et de mes multiples plaies dont le sang coulait en larges rivières. Aucun de mes muscles ne semblaient jamais devoir fonctionner de nouveau. Ce fus un terrible combat que de trouver au fond de mon sac un des pains aux vertus curatives que j’avais emportés, et ma mâchoire se révolta lorsque je mordis dedans. Mais rapidement, je sentis sa magie faire son chemin à travers mon corps, commençant à réparer les tissus déchirés, apaisant les douleurs. J’allais m’abandonner au sommeil, allongée dans l’herbe grasse quand un bruit me fit relever la tête. Un autre défias qui avait du s’éloigner du camp venait de pénétrer dans la clairière. Lorsque ses yeux eurent fini de faire le tour de celle-ci et se posèrent sur moi, une grimace de haine déforma ses traits et il dégaina son épée pour foncer sur moi.

Je maudis le ciel de mon infortune. Cette fois, la rage ne me portait plus, et il me fallait presque lutter pour sortir du cotonneux brouillard qui avait commencer à doucement m’envelopper. Et mes forces n’étaient pas encore revenues. Même si je sentais la magie curative agir rapidement en moi, on était loin du compte. Je n’avais que deux secondes avant qu’il soit sur moi mais elles seraient mieux employées à laisser la magie continuer à agir. Alors que si je me relevais… Je me forçai au calme, préparant mon corps et mon esprit au combat, alors que mon adversaire chargeait vers moi l’arme au poing. Et a l’ultime instant où il abattit son arme, je roulai en arrière. Déséquilibré et surpris, il partit en avant. A genoux, je me glissai sous ce qui fut sa garde, frappant violemment d’estoc au ventre, puis ramenai ma lame pour frapper aux cotes, juste sous l’aisselle, entamant profondément les chairs.

Il recula pour se remettre en garde, et je le regardai faire en souriant. Nos regards se croisèrent. Nous le savions tous deux, même si chacun de mes muscles était douloureux et certaines de mes blessures encore très profondes, j’avais déjà remporté cette bataille. Il eut néanmoins ce courage, je dois le reconnaître de se jeter au combat. A l’inverse du premier, je menai celui-ci avec concentration, enchaînant les techniques et les bottes que m’avaient enseignées mes maîtres d’armes successifs, contrant chacune de ses attaques, punissant chacune de ses erreurs, presque détachée, presque plus témoin qu’actrice. Je n’avais pas beaucoup de forces au début du combat, mais elles étaient presque intactes lorsque celui-ci s’acheva.

Je récupérai dans le coffre la plaque du maréchal, et laissai derrière moi cette clairière pleine de sang et de cadavres aux corbeaux impatients qui s’étaient assemblés dans les arbres qui la cernaient, mordant à pleines dents dans une délicieuse pomme rouge trouvée dans le même coffre. Le maréchal me serra dans ses bras et pleura de reconnaissance lorsque je lui redonnai sa plaque avant de m’offrir une magnifique épée que je ne puis le convaincre de conserver. Elle serait bien plus utile entre de bonnes mains qu’entre les siennes qui devenaient trop vieilles pour la manier me dit-il. Je lui promis d’en faire bon usage et prit congé du vieil homme avec une profonde émotion. Les gens comme lui me prouvait que nos combats et nos souffrances n’étaient pas inutiles, et me poussait à continuer à marcher dans les pas de mon père avec fierté.

Je repartis d’un pas tranquille vers la magnifique et fière cité de Stormwind dont je ne passais jamais l’entrée sans que mon cœur ne batte un peu plus vite. Je repensais en chemin à Gaétan, une de mes amis d’enfance. Oui, bon, un sale petit voyou en fait qui m’entraînait toujours dans les pires situations, et qui était même parvenu à me convaincre de venir jouer avec lui dans la paille où il m’avait embrassé un jour, nous n’avions pas dix ans. Je n’avais plus entendu parler de lui depuis des années jusqu’à la semaine dernière où quelqu’un prononça son nom dans une des tavernes de la ville. Le portrait qu’on en fit ne me permit pas un instant de douter qu’il s’agissait du jeune chenapan qui avait donné quelques couleurs à ma sage jeunesse. Apparemment, Gaétan avait suivi son propre chemin et s’était aujourd’hui fait un petit nom parmi les voleurs de la cité. Mais on le décrivait avec respect, et comme quelqu’un d’honorable et bon… pour un voleur. Ainsi, le vilain petit garçon marchait lui dans les pas de Robin des Bois. Je n'étais pas si étonnée… Finalement, je me rendais compte que je brûlais d’envie de le retrouver et de le revoir. Après tout, je comptais me mettre en route pour le Westfall, euh, les marches de l’Ouest, où les défias donnaient apparemment beaucoup de fil à retordre à la mince garnison en poste à la colline des sentinelles. Si je pouvais le convaincre de m’accompagner, j’étais certaine que ses talents seraient d’une grande utilité. En plus, on ne manquait guère de paille dans la région…


Dernière édition par Bruno le 27 Juil 2005, 16:24; édité 3 fois
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Maïane



Inscrit le: 18 Juil 2005
Messages: 379
Localisation: Metz

MessagePosté le: 27 Juil 2005, 14:41    Sujet du message: Répondre en citant

C'est sympa comme tout Souriant
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tarmosaure



Inscrit le: 23 Juin 2005
Messages: 413
Localisation: Paris

MessagePosté le: 27 Juil 2005, 14:54    Sujet du message: Répondre en citant

très sympathique tout cela... j'ai bien aimé le style (et la petite remarque sur les traductions des noms de lieux a mis un petit moment de fraicheur...)

Tarmo, qui a bien aimé
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Anaxagor



Inscrit le: 06 Juin 2005
Messages: 480

MessagePosté le: 27 Juil 2005, 16:11    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai beaucoup aimé Bruno, l'action, la tendresse, l'humour (les scribes qui se sont réunis pour définir les nouveaux noms des régions ... Nous aurions ainsi le loisir de les juger et de les pendre comme il convient… Très content).

Du très bon travail Souriant
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Anaxagor prêtre UD (Elune)
Karup voleur Troll (Elune)
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Bruno



Inscrit le: 04 Mai 2005
Messages: 43
Localisation: Toujours la tete :)

MessagePosté le: 28 Juil 2005, 06:45    Sujet du message: Répondre en citant

et bien merci

bon c'est sans pretention et tres classique (voire trop), mais comme j'avais envie de l'écrire, autant le faire lire apres...

Bruno
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Delinar, gnome demoniste ingénieur sur Elune
Ingénieur gnome. Plus qu'un metier, un sacerdoce !!!
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