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et si on regardait de l'autre coté....

 
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orée



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MessagePosté le: 24 Avr 2007, 06:26    Sujet du message: et si on regardait de l'autre coté.... Répondre en citant

Mais pourquoi ? Pourquoi avait-elle fait cela ? La pire bêtise de sa toute jeune vie… Sa mère allait la tuer, sans parler du sort que lui réserverait son père. Ils n’aimaient guère qu’elle se promène seule et pour une fois qu’elle avait réussi à les persuader, elle les avait perdu et ne retrouvait plus du tout son chemin. Quelle idée elle avait eu d’aller voir cette brume si lumineuse et si chatoyante ?
Dans le calme de la forêt, loin de la surveillance de sa mère, elle avait suivi ce petit chemin escarpé et était entré dans le bois. Là, la végétation était beaucoup plus dense et la lumière bien plus mystérieuse. Quel terrain de jeu incroyable ! Elle avait suivi un papillon pendant un moment puis avait trouvé de jolies fleurs blanches et s’était assise un moment pour confectionner un collier. Sa grand-mère lui avait appris à faire de ce genre de bijoux éphémères. Puis elle avait décidé de reprendre son chemin vers la prairie où sa famille l’attendait. Et c’est là qu’elle l’avait vu, cette lumière émeraude. On aurait dit une brume féerique, et les fées, elle les adorait. Elle s’était approchée pleine de crainte mais de curiosité surtout. C’était … vaporeux, comme quand sa mère lui faisait prendre un bain dans la grande bassine en fer dans la cuisine. Elle ne se doutait pas que sa curiosité lui vaudrait cette aventure terrifiante pour une enfant si jeune.
D’un coup, la brume s’était enveloppée autour d’elle et elle s’était endormie sur le coup. Quand elle s’est réveillée, elle n’a pas reconnu les alentours. Elle s’est levée et a voulu ramasser son collier de fleurs mais il avait disparu. Elle s’en voulut un peu mais elle n’avait pas le temps de le chercher et la punition serait suffisamment corsée pour ne pas s’attarder plus encore. Jamais elle ne pourrait se promener seule, sa mère allait la cloîtrer après la correction que son père allait lui donner. Elle se mit en route et s’aperçut que la route était juste devant elle. Elle pensait en être bien plus loin.
Elle parti sur la route et la trouva un peu différente. Elle avait du aller bien plus loin que ce qu’elle pensait. Les pavés… elle ne se souvenait pas en avoir vu sur le chemin à l’aller. Puis, un peu perdu dans ses songes, elle leva le regard et s’aperçu qu’elle approchait un grand édifice. Mon dieu !!! Un château… Ses parents ne l’avaient jamais emmené ici.
Quel palais magnifique. Des murs en tuffeau, des ardoises d’un bleu royal, et des douves remplies d’eau claire. Elle était dans sa contemplation et n’entendit pas le cavalier qui lui passa sur la droite à toute vitesse. La jeune fille prit peur et se mit bien sur le coté de la route pour avancer vers le bâtiment. Au diable sa punition, la curiosité l’emportait sur tout.
Elle avança le long du pont qui traversait les douves et vit un garde à l’entrée. Elle avança tout doucement et passa devant lui mais il ne dit rien alors elle couru jusqu’à l’entrée. En ait de château, il s’agissait d’une ville à part entière. De grandes maisons, des rues, des boutiques, et des gens partout.
De drôles de gens d’ailleurs… des grands, des petits, des hommes en robes, des chapeaux pointus, des armures, de grandes armes aux ceintures, voire dans le dos des gens, des hommes et des femmes sur des chevaux, des béliers géants et même des tigres. Elle n’en revenait pas. Quelle ville étrange. Elle essaya de demander à un passant quelque chose mail il l’ignora. Elle vit alors un garde juste à coté d’elle et lui demanda pardon. L’homme austère lui demanda alors si sa requête concernait la situation de l’auberge, de la banque, de l’hôtel des ventes ou des maîtres de classes ou de professions. Elle sembla perdue. Elle était loin des siens et cet homme la harcelait sans répondre à sa question. Elle commença alors à avoir peur d’être perdue pour de bon et des larmes coulèrent sur ses joues.
Elle sentie alors une petite tape sur son épaules. Elle se retourna et vit… quelqu’un. Cet homme, s’il elle pouvait dire cela, n’était pas plus grand qu’elle. Il portait une de ces robes étranges et un casque avec des cornes qui masquait partiellement son visage. Elle n’était pas rassurée. La suite lui révélerait qu’elle avait raison. Il lui hurla dessus, littéralement. Lui demandant où « elle » était, lui disant qu’il l’avait suivi jusqu’ici depuis le bosquet et qu’il voulait savoir ce qu’« elle » était devenu. Elle prit peur et courut aussi vite et aussi loin que ses jambes pouvaient l’emmener. Elle le perdit dans les méandres des ruelles de la cité. Elle finit par s’écrouler sous un porche et pleura toutes les larmes de son corps. Elle sentit à nouveau une main posée sur elle et voulut se lever et fuir mais ce n’était pas le « petit homme » devant elle mais une petite jeune fille rondelette avec de drôles de vêtements.
 Bonjour je m’appelle Melwingh et ce stupide démon ne t’importunera plus, je te le promets.
 Merci madame…
 Appelle moi Melwingh ! mais toi qui es tu ?
 Je m’appelle Léora et je me suis perdue. Je ne connais pas cette ville et mes parents doivent s’inquiéter. Vous pouvez me dire comment retourner à mon village ?
 De quel village viens tu ? goldshire ? le camp des bûcherons ?
 Je ne connais pas ses villages, je viens de st Christophe des bois, tu le connais celui là madame ?
 Malheureusement non. Tes parents finiront bien par passer un message pour te retrouver, en attendant que dirais tu d’un peu de nectar à la taverne toute proche, tu me diras comment tu t’es perdue ?
 Je ne dois pas suivre les étrangers mais tu as l’air gentille Melwingh. Dis ? je peux te poser une question ?
 Bien sûr ! que veux tu savoir jeune Léora ?
 Je m’excuse d’avance mais tu es aussi petite que moi mais pourtant tu parais bien plus âgée … c’est bizarre…
 N’as-tu donc jamais croisé de gnome ?
 Les gnomes n’existent que dans les contes de fées… c’est un déguisement que tu portes?
 Par Elune, je te trouve bien insolente ou bien ignorante, jeune Léora… allons à la taverne et nous éluciderons ce mystère.

Les deux nouvelles amies s’en allèrent vers la taverne de la rose sur la place près de l’entrée de la ville. L’aubergiste Allison les installa dans un coin et leur servi des boissons. La jeune femme parla longtemps avec Léora et comprit qu’un bien étrange événement venait d’avoir lieu en cette ville. En effet la jeune fille ne semblait rien connaître des avantages fabuleux de ce monde et s’étonnait des races, classes, professions et autres choses tout a fait naturelles ici.
La gnomette n’hésita que peu de temps avant de prendre la jeune fille sous son protectorat mais le plus dur restait à venir. La petite Léora avait des parents et Melwingh ne savait comment les joindre. Elle avait passé des messages sur différents canaux de conversations mais personne n’avait répondu. Elle décida de prendre une chambre pour la jeune fille et elle-même dans cette auberge et demain elle aviserait.

Le lendemain, Melwingh se leva bien tard et quand elle ouvrit un œil, elle s’aperçut que Léora était déjà debout et regardait par la fenêtre. Elle se hâta et elles descendirent toute deux pour prendre un bon petit déjeuner. Melwingh s’absenta un instant pour voir son courrier et n’y trouva qu’un message publicitaire pour des pièces d’or. La fraude était de plus en plus courante ces jours-ci. Elle retourna voir Léora. Le moment était venu de lui parler franchement.

 Léora, il faut que nous discutions un peu sérieusement. J’ai bien réfléchi et tu n’es pas comme toutes les autres enfants d’ici. Deux choses m’inquiètent particulièrement. La première, c’est que tes parents ne se sont pas manifestés pour te retrouver et j’ai pourtant envoyé de nombreux messages. La deuxième, qui ne présage rien de très normal, c’est que tu ne sembles rien connaître à ce monde. Tes parents ne t’ont-ils pas appris quoi que ce soit ? Ne poursuit tu pas un enseignement, une voie professionnelle ? Dis moi que font tes parents dans la vie ? vu que tu es une humaine, sont-ils prêtres ? guerriers ? mages ? voleurs ? paladins ?
 Melwingh de quoi parles tu ? mes parents sont agriculteurs…
 Tu veux dire que tu n’as pas de maître ? pas la volonté d’accomplir de grandes choses dans la vie pour le bien d’Azeroth ?
 Le bien de qui ? et puis moi je veux être vétérinaire d’abord !
 Vété…quoi ? c’est quoi ce charabia ?
 Je veux soigner les animaux… tu ne connais pas ça ? et puis Ameroth c’est qui d’abord ?
 Azeroth tu veux dire ? ne connais tu donc point le nom de ton continent ? tu es bien mal éduquée Léora ! D’autres diraient de toi que tu es une noob !

Les deux amies continuèrent ainsi de parler pendant des heures. L’après midi était bien avancée et Melwingh devait penser à ce qu’elle allait faire de la jeune fille. Sa volonté de soigner les animaux pouvait peut être faire d’elle une prêtresse ou une paladine… elle devait voir cela avec les maîtres de classe au plus vite. La cathédrale n’était pas loin et elle emmena Léora avec elle. Le maître des paladins ne parut pas convaincues par cette petite fille un peu chétive et n’accepta pas de la prendre sous son aile. Le maître des prêtres par contre sembla la prendre en affection, cette enfant si particulière. Melwingh dut expliquer à la jeune fille des choses qu’elle ne connaissait guère, on n’avait jamais vu de gnomes prêtres et toutes ces choses ne lui étaient pas familières. Léora fut si prise par tout ce renouveau dans sa jeune vie qu’elle ne pensa plus tellement à sa famille cet après-midi là. Elle posait tellement de questions sur sa nouvelle voie et sur celle de Melwingh aussi. La gnomette était une démoniste de renom par ici et son diablotin, effrayant au premier abord, avait fini par amuser Léora par ses râleries intempestives. Léora avait suivi son amie dans la forêt de Goldshire et avait appris à confectionner des bandages en lin. Elle aimait bien cette occupation et en plus elle pouvait soigner Teigniak, le diablotin de Melwingh. Elle avait aussi appris un sort de soin et un « buff » comme disait Melwingh, elle ne savait pas trop ce que c’était mais à priori c’était bien. C’était vraiment très drôle de finir l’après-midi comme cela. Mais vient le moment où le soleil commençait à se coucher et Léora repensa à ses parents qui devaient la chercher.
 Melwingh… et mes parents alors ?
 J’ai passé des messages tout l’après midi mais personne n’a jamais entendu parlé d’eux et ils ne se manifestent pas. Je crois bien que je vais veiller sur toi encore un moment.
 Qu’est ce que je vais devenir moi ?
 Pour le moment, je te garde avec moi et on verra bien si on a plus de nouvelles dans la soirée… ou demain…
Melwingh était très mal à l’aise. Elle pouvait réduire en cendre les pires êtres mais se trouvait bien démunie face à cette petite. Les jours passèrent mais toujours pas de nouvelles des parents et Melwingh sentait bien que quelque chose de bizarre se tramait là-dessous. Elle profita d’une matinée où Léora faisait la grasse matinée pour aller chercher des réponses auprès de son ami Volentes, un voleur elfe qui était souvent au courant de bien des choses.
 Salut Volen… alors quoi de neuf ?
 Hé Melwingh, ma belle, comment vas-tu ?
 Bien, bien merci, dis moi tu n’as pas entendu des trucs bizarres ces derniers jours ?
 Oo tu es sur un coup ?
 Non je me renseigne… je suis tombée sur une petite noob et j’ai pas l’impression qu’elle soit du coin…
 Une déesse de chez moi ?
 Ne fais pas le malin Volen, en plus c’est une toute jeunette alors bas les pattes… tous les mêmes ces elfes…
 Bon et cette petite alors elle viendrait de Darnassus ?
 Non c’est une humaine, mais bizarre…elle ne semble rien connaître d’ici, ni la mappe, ni les PNJ… enfin rien du tout et elle parle d’endroits et de choses que je ne connais pas.
 Toi avec ton level tu ne connais pas certaines choses ??? Noob va !
 Volen s’il te plait… Bon allez dis moi ce que tu as entendu d’étranges ces derniers jours et je t’offre un élixir au choix.
 Ah toi tu sais comment me parler !! alors ces derniers jours … ben il ne s’est pas passé grand-chose… un éboulement chez les nains, une explosion chez tes congénères (faudrait arrêter les expériences des ingénieurs gnomes, ils sont dangereux), et une de mes compatriotes qui a disparue, une mage et c’est tragique car s’était la seule elfette mage connue. Dévilio de son coté est dans une rage folle mais je ne connais pas la raison, tout ce que je sais c’est que c’est pire que d’habitude.
 Merci Volen, je vais aller voir mon cousin pour en savoir plus sur ce qui le tracasse tant. Ton élixir je te l’envoie par la poste ?
 Ok ça marche ++ Melwingh
 ++

Melwingh se dirigea vers Ironforge ou résidait son cousin, Dévilio. Elle le côtoyait peu à cause de ses colères et de ses enfantillages. Mais ce n’était pas bon signe si celle-ci faisait parler d’elle jusqu’à Stormwind. Il lui faudrait toute sa perspicacité pour obtenir des infos. En effet ce gnome grincheux n’était pas idiot et la venue de sa cousine n’était pas courante. Pendant ce temps là, Léora faisait ses premières armes dans la forêt. Melwingh lui avait dit de chasser quelques rats et d’en tirer le maximum de lin possible. C’était très amusant et elle avait amélioré sa compétence de bandage de 10, ce qu’elle trouva très honorable et elle se dit qu’elle méritait bien une pause.
Dévilio ne voyait pas d’un bon œil la venue de sa cousine et avait bien d’autres chats à fouetter. Il fallait qu’il « la » retrouve et le plus vite possible cette… petite… mécréante… de mage elfe qui lui avait résisté…

 Melwingh tu n’as pas un pet à entraîner par hasard ?
 Dévilio, mon cher, je suis 70… (pas comme certain)… et je viens te voir car j’ai entendu depuis Stormwind une rumeur comme quoi tu es très « irrité » en ce moment et c’est rare d’en entendre parler là bas. Alors comme je suis de la famille…
 Tu viens aux nouvelles ? ou tu veux nourrir les rumeurs sur ce « diable de démon » ?
 Allons tu sais bien que je ne te surnomme plus ainsi depuis bien longtemps… Arrête de faire ton grincheux et dis moi ce qui te tracasse.
 Cela ne te regarde pas Melwingh, tu ferais mieux de retourner auprès de ces humains qui te sont si chers.
 Ne sois pas médisant ou je t’envoie mon bleu, ok ?
 J’ai vraiment pas le temps là, Melwingh. Elle …j’ai des recherches à faire. Faut que je la retrouve. La conversation est close. Ciao Melwingh.
 Ouais ++

Melwingh n’en savait guère plus qu’à son arrivée mais elle n’avait jamais vu son démoniaque cousin dans cet état. Elle n’avait plus qu’une solution et cela ne l’enchantait guère… il lui fallait tout son courage pour aller voir ce butor mais il fallait qu’elle sache. Armen était un des sbires de Dévilio. Un nain qui avait le gène de la bière et qui croyait son charme irrésistible. Son penchant pour les gnomettes était très poussé et Melwingh savait déjà à quoi s’attendre.
Elle le trouva à la sortie d’une mine naine une bière à la main (comme si c’était une prolongation naturelle de son membre). La conversation fut presque cordiale jusqu’au moment où une des mains d’Armen s’aventura trop près du fessier de Melwingh, ce qui déclencha une gifle monumentale de la jeune femme. Mais elle avait tout de même réussi avant à choper une info. Elle ne savait pas trop quoi en penser mais c’était déjà ça. Armen n’avait pas vu Dévilio depuis un moment parce qu’il travaillait sur une porte bizarre. Voilà ce qu’elle avait appris. Elle se dit que son maître en saurait peut être un peu plus et retourna donc à Stormwind pour parler à Fugnacio, le grand maître démoniste.
Après une ballade dans le métro, elle se dirigea vers lui.
 Bonjour Maître
 Oh !!! Melwingh, quel plaisir de te revoir. Souhaites-tu oublier tes talents ?
 Là n’est pas la question Fugnacio. L’affliction est une voie de patience et de savoir très intéressant. Je viens vous voir à un tout autre sujet.
 Je t’écoute… mais si tu le souhaites, pour tes talents, je te fais une ristourne…
 Non, vraiment, merci… je viens vous voir pour une rumeur qui circule sur mon cousin Dévilio…
 Ah Dévilio, spécialiste de la destruction (en masse, si j’ose dire), un élève particulièrement doué mais un caractère de diablotin, le pire que j’ai…
 Oui, on parle bien du même… je voulais savoir s’il vous avait parlé de son projet concernant une porte … Une porte perdue peut être ?
 Une porte dis tu ? Le seul projet de porte que je connaisse est celui de la porte des ténèbres mais malgré ses aptitudes Dévilio ne fait pas partie du staff. Et cette porte n’est pas perdue du tout.
 Je pensais à un truc un peu plus « discret » que cet évènement dont tout le monde parle.
 Je t’avoue Melwingh que je ne suis pas dans le cercle des intimes de ton cousin. S’il s’agit d’un projet personnel, tu devrais aller voir le tavernier en haut. Il a des oreilles qui traînent partout ici.
 Merci Fugnacio à bientôt
 ++ Melwingh et n’oublie mon offre pour tes talents !

La jeune gnome n’était pas plus avancée après avoir discuté avec le barman. Si ce n’est que Dévilio avait laissé une jolie ardoise ici. A priori son cousin si friand de vantardises n’était pas venu depuis un bon mois et cela était bien étonnant. Quelle était donc la raison de ce changement d’habitude ? Le moment n’était plus aux spéculations. Il lui fallait désormais retrouver Léora. Elle invoqua son palefroi et parti vers la forêt d’Elwynn. Elle retrouva la jeune fille endormie au pied d’un arbre près de la mine. Elle remarque tout de suite le changement de robe et la masse rouillée à la ceinture. La petite avait looté un bien piteux matériel et Melwingh s’en voulut de ne pas être passer à l’hôtel des ventes. Elle y remédierait plus tard si besoin. Toujours sans nouvelles des parents de la jeune fille, Melwingh se dit que la petite apprentie prêtresse serait mieux à ses côtés. Elle annonça à sa guilde qu’elle ne serait que peu dispo ce jour et réveilla Léora.


et voilà j'ai voulu inventer l'autre coté de l'histoire de Sapho Très content
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MessagePosté le: 21 Mai 2007, 00:19    Sujet du message: Répondre en citant

je me suis prise au jeu d'écrire régulièrement la suite et d'en faire partager ma guilde. Si cela vous dit vous trouverez presque toute l'histoire ici (la fin n'est pas arrivée encore ) Embarassé

http://www.sebsebseb.net/cassiopee/forum/viewtopic.php?t=3216

Bonne lecture Très content
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